Cette rencontre, présidée par le ministre provincial des ITPR, l’ingénieur Héritier Likaka Balombo, a rassemblé les représentants des entreprises adjudicataires des marchés de réhabilitation et de modernisation des routes, financés par le gouvernement central et le gouvernement provincial.
Parmi ces entreprises figurent Safrimex, Mont Gabao, CHC, Kin Constitution, Sopeco, IBC et SZTC.
En outre, le chef de cabinet du ministère provincial des ITPR, le conseiller du gouverneur en charge des infrastructures, le secrétaire permanent de la Commission de Prévention Routière (CPR-Tshopo), le chef de division provinciale des infrastructures et travaux publics, ainsi que des représentants de l’Office de Routes et du Bureau Technique de Contrôle (BTC) y ont également pris part.
L’ordre du jour portait sur deux points principaux :
1. La communication du ministre provincial des ITPR, l’ingénieur Héritier Likaka Balombo, axée sur l’importance de la qualité des ouvrages et le respect des délais. Et
2. L’évaluation de l’état d’avancement des travaux routiers, avec des présentations détaillées par chaque entreprise.
Dans son intervention, le ministre Héritier Likaka Balombo a insisté sur la nécessité de réaliser des ouvrages de qualité tout en respectant les délais impartis. Il a rappelé aux entreprises exécutantes qu’elles ne sont pas des électrons libres dans la province, même si certaines d’entre elles proviennent de Kinshasa. Toutes sont placées sous la supervision stricte du gouvernement provincial, soucieux de garantir des infrastructures durables à la population.
« Le manque de suivi et de contrôle permanent est souvent à l’origine de l’inachèvement des travaux dans notre pays. Sous la gouvernance de Paulin Lendongolia, nous nous engageons à intensifier les inspections pour nous assurer que ces projets, financés notamment grâce aux efforts du Président de la République à travers le Ministre des Finances Doudou Fwamba, soient menés à bien », a-t-il déclaré.
Le ministre a également souligné que les ouvrages réalisés ne sont pas la propriété des entreprises, mais un héritage pour la province. « Si les travaux sont mal réalisés, ce n’est pas les entreprises qui en subiront les conséquences, mais bien la province, qui paiera le prix de ces infrastructures défaillantes».
Chaque entreprise a présenté l’état d’avancement de ses travaux et a exposé les difficultés rencontrées. Les services étatiques présents ont, quant à eux, formulé des observations constructives pour accompagner les entreprises et améliorer leur performance.
L’évaluation globale révèle que les travaux routiers dans la province de la Tshopo sont réalisés à 60 % par rapport au calendrier fixé. Cette avancée encourageante reflète les efforts conjoints des parties prenantes.
L’initiative du ministre Héritier Likaka Balombo de réunir tous les acteurs impliqués dans les projets routiers, a été unanimement saluée par les participants qui trouvent en lui des qualités exceptionnelles.
Rédaction.
