Les observateurs de la bonne gouvernance, orientent leurs projecteurs sur deux acteurs politiques qui nulle sans doute, seront des acteurs clés de ce décollage.
Il s'agit du docteur Mateus Kanga Londimo nouveau président de l'Assemblée Provinciale et du professeur Flory Bobili candidat gouverneur.
Deux acteurs politiques hors du commun, qui ont plusieurs éléments en commun.
Le premier est un jeune qui fait avec succès son premier pas en politique.
Avec un parcours universitaire élogieux ne faisant l'objet d'aucune critique négative, ce jeune compétent, honnête et intègre, dirige la première institution politique de la Tshopo. Il fait tout pour le changement en faisant les choses autrement, surtout sa lutte sans merci contre les antivaleurs qui gangrènent la classe politique de sa province.
Il agit pour imposer une nouvelle gouvernance dans la Tshopo.
Le deuxième Flory Bobili, est un jeune professeur, très compétent, posé, stable, organisé. Avec un parcours professionnel également élogieux, une expérience professionnelle et un carnet d'adresses très riche,il partage avec le président de l'assemblée provinciale les mêmes valeurs entre autres : l'intégrité, l'honnêteté, le patriotisme, la sincérité et le même souci de mettre fin au cercle vicieux auquel la Tshopo est plongée.
Pour beaucoup d'analystes politiques, avec les deux jeunes, docteur Mateus Kanga à la tête de la représentation provinciale du peuple et professeur Flory Bobili à la tête de l'exécutif provincial, la Tshopo vivra une nouvelle ère de la fin des tâtonnements dans la gestion, la fin de la maltraitance des agents des institutions prises en charge par la province, la fin des détournements de dénier public, l'instauration de l'autorité de l'État et l'ère de la construction de la province.
Avec ce cocktail merveilleux, la Tshopo va reconquérir sa place de la 3e poule économique du pays et respirée dans tous les domaines.
Ces analystes plaident pour l'élection du professeur Flory Bobili afin de faire la combinaison de mérite entre les deux jeunes pour le bien-être de la province.
Emmanuel Zonga
