Selon lui, ces pressions seraient exercées par certains députés nationaux, bien que ceux-ci ne soient pas nommément cités.
L’ADDLV évoque une « campagne de désinformation et de manipulation » ayant pour objectif de discréditer non seulement les efforts du Président de la République et du Ministre de la Justice, mais également ceux de l’équipe dirigeante de FRIVAO, conduite par Chançard Bolukola.
D’après l’association, ces attaques interviennent alors que le comité intérimaire de FRIVAO présente un bilan jugé positif : pas moins de 14 309 victimes auraient été indemnisées en un temps record. Une performance que Maître Tombaka défend vigoureusement, qualifiant les critiques de « procès d’intention » dénués de preuves tangibles.
« Pourquoi ces députés ne s’acharnent-ils pas contre d’autres établissements publics comme la SNEL, l’OCC, la RVA ou encore la DGRAD ? », s’interroge-t-il, laissant entendre que cet acharnement ciblé contre FRIVAO pourrait cacher des motivations inavouées.
À ce jour, aucune réaction officielle n’a été enregistrée de la part du bureau de l’Assemblée nationale ni des députés concernés. Toutefois, cette dénonciation publique relance le débat sur les tensions persistantes entre institutions publiques et représentants du peuple, dans un climat politique souvent marqué par des rivalités internes.
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