Il s'agit de Madame FRYDE KELEKELE ITAMILI, ex-femme du professeur Jean-Claude Pandatimu, juge président du tribunal de commerce de Kisangani, qui a été victime de ce traitement dégradant lui infligé par les policiers commis à sa garde sur ordre qui serait venu de lui pendant que la femme est venue chez-lui pour regarder les quatre enfants issus de leur mariage.
Femmes politiques, actrices de la société civile et les organisations féminines et celles de défense de droits de l'homme, expriment leurs désapprobations et condamnations tout en exigeant des sanctions aux personnes impliquées.
Parmi ces nombreuses femmes figure Gisèle Bombele, femme politique qui depuis très longtemps, combat les actes des violences faites aux femmes à travers la fondation qui porte son nom.
"Le système judiciaire et le cadre politique instaurés dans notre pays découragent et prévoient des sanctions à l'égard des auteurs des actes de violences faites à l’égard de la Femme", rappelle -t-elle, avant de poursuivre :
"Cette vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux montre clairement et nettement l'atteinte à l’intégrité physique de cette femme et laisse plus d’une personne perplexe".
À elle d'ajouter :
"La violence à l’égard de la femme constitue une atteinte grave aux droits fondamentaux. Elle affecte non seulement la Femme ou la victime directe, mais également les familles, la communauté et le pays tout entier".
GISÈLE BOMBELE condamne avec fermeté cet acte odieux et exige des sanctions sévères contre les auteurs de cet acte.
La fondation Gisèle Bombele mène dans la Tshopo des actions de sensibilisation de la communauté sur la protection et la promotion des droits des personnes vulnérables comme les femmes et agit pour le respect de l'intégrité physique tout en luttant contre le traitement cruel, inhumain ou dégradant des citoyens.
A cette occasion, Gisèle Bombele plaide aussi pour le renforcement des actions nationales destinées à prévenir et à combattre toutes formes des violences faites contre la femme et leur effectivité dans la Province de la Tshopo.
Rédaction.