Dans cette adresse, le Professeur Alongo a rendu un vibrant hommage aux héros de l’indépendance, tout en exhortant la population de la Tshopo à incarner les valeurs qui ont animé la lutte pour la souveraineté nationale.
Selon lui, le 30 juin ne doit pas être réduit à une simple commémoration symbolique, mais doit surtout constituer un « appel à la responsabilité collective et individuelle ».
« À nous, filles et fils de la Tshopo, il revient aujourd’hui de faire vivre cet héritage par le travail acharné, la discipline, la dignité et l’amour sincère de notre patrie », a-t-il déclaré.
Face aux défis qui guettent la stabilité du pays, le Professeur Alongo a invité les Tshopolais à demeurer vigilants et unis, dénonçant les divisions internes comme un terrain fertile à la fragilisation de la nation.
« L’ennemi du Congo prospère dans nos divisions et nos silences », a-t-il averti.
Porteur d’un message de rassemblement, ce grand scientifique a souligné que le développement de la Tshopo ne pourra se réaliser que dans le respect des compétences, dans la reconnaissance des mérites de chacun et dans la solidarité active. Il a plaidé pour une jeunesse consciente, des leaders engagés et un peuple debout, tourné vers l’avenir.
« Ce 30 juin, que chacun se lève non pour se souvenir seulement, mais pour agir avec fierté et loyauté pour le développement de la Tshopo et la grandeur de la République », a-t-il martelé.
Le Professeur Sylvain Alongo Longomba a lancé un appel vibrant à l’unité et au travail, réaffirmant son engagement indéfectible pour une Tshopo prospère et un Congo fort, tout en concluant :
« Vive la Tshopo unie, travailleuse et digne ! Vive le Congo, libre et fort ! »
Rédaction.
