La ville de Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, traverse une période difficile marquée par une recrudescence inquiétante de l’insécurité. Braquages, tueries et violences rythment désormais le quotidien des habitants, plongeant de nombreuses familles dans le deuil et la désolation.
Face à cette situation, Madame Corinne Ngasi Mbombo, la Fédérale du Congrès National Africain pour le Réveil du Congo (CNARC), parti politique cher à Aimé Pascal Mongo, exprime sa profonde tristesse et sa vive indignation.
Dans une déclaration faite à la Clocheducongo ce dimanche 31 août 2025, cette influente femme politique de la Tshopo, condamne de manière particulière l’assassinat brutal du jeune entrepreneur Benjamin Ezulua, froidement abattu par des criminels alors qu’il exerçait ses activités dans son Shop M-Pesa, en face du night-club Mandarine, le jeudi 28 août dernier.
Avec une grande émotion, elle a compatit avec la famille éprouvée par cette perte tragique, rappelant combien la disparition de ce jeune dynamique représente non seulement un vide pour ses proches, mais aussi pour toute la communauté boyomaise.
Toujours proche de sa base et présente aux côtés de la population aussi bien dans les moments heureux que dans les instants douloureux, Madame Corinne Ngasi Mbombo s’est dite profondément préoccupée par la détérioration du climat sécuritaire :
« Kisangani a toujours été une ville hospitalière, symbole de paix et de fraternité. Aujourd’hui, voir nos familles vivre dans la peur, dépouillées de leurs biens et parfois victimes de violences inhumaines, est insoutenable », a-t-elle déclaré avec fermeté.
Dans sa déclaration, elle interpelle les autorités provinciales et les services compétents à redoubler d’efforts pour mettre fin à cette insécurité, soulignant que la protection des citoyens demeure une priorité incontournable.
Par ailleurs, Madame Corinne Ngasi Mbombo salue les efforts continus du Chef de l’État, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, en sa qualité de Commandant suprême des Forces Armées de la République Démocratique du Congo, pour restaurer la paix à l’Est du pays et garantir la sécurité des Congolais.
Figure politique influente, mais surtout femme de terrain toujours à l’écoute de son peuple, Madame Corinne réaffirme son engagement à rester aux côtés des Boyomais, partageant leurs joies, leurs peines et leurs aspirations, avec la conviction que l’unité et la solidarité permettront de surmonter cette épreuve.
Rédaction.