Depuis quelques jours, une campagne de dénigrement savamment conçue par les ennemis du progrès de la Tshopo, tente de fabriquer un faux scandale autour de l’honorable Patrick Matata Makalamba, député national élu de la ville de Kisangani et voix audible de la Tshopo au Parlement.
On l’accuse sans preuve d’être impliqué dans un prétendu détournement des fonds destinés à la réhabilitation de la RN7 Opala–Tshuapa. En réalité, il ne s’agit que d’un récit cousu de fil blanc.Un chiffon médiatique mal ficelé.
Une machination politique montée par ceux que dérange la montée en puissance du député Matata, dont l’action à Kinshasa comme à Kisangani redéfinit le rapport de force en faveur du développement de la province.
Ce mensonge grossier, sorti du laboratoire des forces hostiles à l’émergence de la Tshopo, vise clairement à salir un élu dont la détermination pour sa province dérange. À l’Assemblée nationale, Patrick Matata Makalamba n’est pas un député passif : il impose la Tshopo dans les débats nationaux, porte les revendications de ses électeurs avec constance et occupe une place centrale qui dérange ceux qui misent sur le statu quo.
Derrière les accusations, rien.
‐ Aucun document officiel.
‐ Aucune procédure administrative.
‐ Aucun élément juridique.
‐ Aucun lien, de près ou de loin, avec la gestion financière ou technique des travaux de la RN7.
Le dossier est vide. Les rumeurs sont recyclées. Les témoignages, manifestement instrumentalisés. Rien ne tient à l’épreuve des faits.
Joint par notre rédaction ce samedi 29 novembre, le député Patrick Matata a réagi avec sérénité à cette offensive politique :
« Je ne me laisserai jamais distraire par des montages sans queue ni tête. Mon engagement reste celui du développement, de la transparence et de la défense de la Tshopo. Ceux qui s’agitent aujourd’hui ne cherchent qu’à détourner l’attention de l’essentiel. »
Un message clair, qui confirme la ligne de conduite d’un élu résolument tourné vers les priorités réelles de la province.
Alors que la population attend la réhabilitation complète de la RN7, certains acteurs préfèrent semer la confusion pour freiner le progrès. Mais la province n’a plus de temps à perdre dans des polémiques fabriquées. Elle a besoin d’unité, d’action et de leaders capables d’affronter les défis réels.
Les ennemis du développement peuvent continuer à s’agiter dans l’ombre ; la Tshopo, elle, doit rester focalisée sur son avenir, déterminée à avancer et à soutenir ceux qui travaillent réellement pour son essor.
Rédaction
