Parmi ces réactions figure celle du Notable et Leader politique David MENDELA. Il est l'un des acteurs politiques les plus écoutés et respectés dans la ville de Kisangani, mais le plus silencieux.
Choqué; cet acteur politique sort de son silence et recadre le vpm lihau.
Dans une déclaration faite à la presse ce vendredi 22 septembre, il qualifie les propos tenus par le vice-premier ministre et ministre de la fonction publique , de provocation et médisance.
"Nous ne pouvons pas tolérer qu'un acteur politique en guette du leadership puisse venir mépriser la classe politique et tenir des propos qui ne favorisent pas la cohésion et la paix sociales".
Certes, nous avons des divergences, que nous réglons en famille, il ne revient pas au ministre Lihau de venir insulter les acteurs politiques dit David MENDELA.
Le message de lihau apporte à la place de l'unité la haine et la division des enfants de la Tshopo ajoute-t-il.
Tout en rappelant les propos tenus au- même endroit par le secrétaire général de l'UDPS, le notable MENDELA estime que, ceux du patron de la fonction publique sont de trop et il veut que cela ne se reproduise plus.
David MENDELA a aussi exprimé sa désapprobation face à l'attitude de mépris affichée par vpm lihau à l'endroit de la Gouverneure de la Tshopo, qui pourtant est sa première collaboratrice au niveau provincial. L'autorité provinciale de la Tshopo Madeleine NIKOMBA SABANGU défend valablement les intérêts de la Tshopo et se bat pour son développement indique David MENDELA.
Le notable MENDELA condamne également les propos à caractère triomphal tenus par Jean-Pierre lihau, en vue de pousser l'opinion à croire que tout ce qui est entrain d'être fait dans la Tshopo, se fait grâce à son lobbying.
Comment expliquer qu'un ministre de la fonction publique, puisse parler même des affaires qui concernent d'autres secteurs comme le sport, l'énergie et les routes alors qu'il n'a pas qualité ? S'interroge David MENDELA.
Il appelle les enfants de la Tshopo à la vigilance et à continuer à soutenir le chef de l'État pour lui donner un second mandat.
Rédaction.
