Dans les salons politiques de la capitale, les officines sont en effervescence. Si plusieurs critères sont évoqués, le facteur géopolitique semble désormais déterminant. Le territoire de Basoko revendique haut et fort son tour de diriger la Tshopo.
À Kinshasa, les notables de Basoko se concertent sans relâche. Même dynamique sur place, dans la province. L’objectif est clair : dégager un candidat unique, issu de Basoko, compétent et rassembleur, capable de relever les multiples défis qui freinent le développement de la Tshopo, en harmonie avec les actions du
gouvernement central visibles dans la province.
Déjà, plusieurs noms circulent dans les couloirs des officines politiques et des réseaux d’influence.
Deux reviennent avec insistance : les professeurs Flory Bobili Tambana et Faustin Toengao Lokundo.
Les consultations se poursuivent toujours. D’autres fils et filles de Basoko pourraient se manifester. Mais une chose fait désormais consensus : le territoire ne veut plus rater son rendez-vous avec l’histoire.
« Basoko n’a plus droit à l’erreur. C’est le moment de s’unir pour faire élire un de nos fils à la tête de la Tshopo », martèle un autre notable.
Rédaction
