Selon un bilan provisoire, l’attaque a fait une victime, une femme pygmée tuée, tandis qu’un jeune homme est porté disparu. Les assaillants ont également incendié six maisons, plongeant les habitants dans la peur et la désolation.
Réagissant à cette attaque, la société civile locale, par la voix de son président Germain Kathimika, a condamné « la légèreté avec laquelle les alertes sécuritaires ont été prises en compte par les services compétents ». Il estime que cette négligence a favorisé l’attaque et ses conséquences tragiques.
Dans l’attente du rétablissement complet de la sécurité, Germain Kathimika a lancé un appel pressant aux habitants, en particulier aux agriculteurs des localités de Sayo, Vuthala et environs, de ne pas s’aventurer dans les forêts, zones jugées à haut risque d’embuscades.
Rédaction
