Des centaines de cadres, militants et sympathisants venus de différents coins de la ville ont pris part à cette rencontre, présentée comme un moment de redynamisation du parti et d’éveil de conscience collective de la population de la Grande Orientale.
Prenant la parole devant une foule enthousiaste, Gilbert Musongela, président national de la CFC, a rappelé la vocation éducative et patriotique de sa formation politique :
“La CFC forme les Congolais à gérer le pays avec amour, responsabilité et engagement.”
Pour lui, la CFC n’est pas un parti de plus, mais une véritable école politique, destinée à “réarmer moralement, intellectuellement et politiquement les citoyens” afin qu’ils puissent faire des choix éclairés lors des prochaines élections.
Revenant sur la genèse du parti, Gilbert Musongela a souligné que la CFC s’enracine profondément dans la Grande Orientale.
“Nous avons remarqué que beaucoup de nos frères et sœurs ignoraient les motivations réelles de la création de la CFC. Il est temps d’éclairer les consciences”, a-t-il expliqué.
Pour le président Musongela, cette prise de conscience est cruciale pour permettre à la région de retrouver sa place dans la gouvernance nationale.
“Notre objectif, c’est la Primature. Nous sommes convaincus que si chaque Tshopolais et chaque fils de la Grande Orientale s’approprie la vision de la CFC, nous aurons plus de 251 députés nationaux.”
Une ambition assumée, soutenue par une stratégie d’unité régionale et un discours d’affirmation politique.
Pour Gilbert Musongela, la CFC incarne le nouveau leadership congolais, sous la houlette de son autorité morale James Kenda Odu, qu’il qualifie de “fils visionnaire de la Grande Orientale.”
Le président de la CFC a insisté sur la nécessité pour les enfants de la Grande Orientale de “parler d’une même voix” et de “fumer le calumet de la paix.”
“Si nous restons divisés, nous resterons spectateurs. Si nous sommes unis, la Primature sera une réalité”, a-t-il martelé sous les applaudissements nourris des militants.
Ce message d’éveil de conscience a profondément résonné dans la salle.
Les militants, visiblement galvanisés, ont promis de faire rayonner la vision de la CFC dans leurs milieux respectifs et au-delà.
Ainsi, la CFC se positionne comme une force politique montante, déterminée à porter haut la voix de la Grande Orientale sur la scène nationale et à impulser un nouveau souffle d’unité et de responsabilité politique.
Rédaction.
