Dans son adresse, le coordonnateur a insisté sur l’importance de la répétition des textes légaux régissant la fonction publique.
« Comme pour enfoncer un clou, il faut répéter les coups de marteau », a-t-il illustré.
Selon lui, la régularité de ces rappels commence à produire des résultats visibles. Il note une évolution positive dans le comportement des agents.
« Les agents que nous avions hier ne sont plus les mêmes aujourd’hui », souligne-t-il, tout en rappelant que “l’État congolais est le seul patron” de chaque fonctionnaire.
Félicien Malu a également présenté un bilan synthétique des communications faites pendant l’année 2025, avant de saluer l’engagement des nouveaux chefs de bureau installés le 1er décembre dernier.
Sans rétrocessions et parfois même sans être mécanisés, ces cadres ont utilisé leurs propres moyens pour repeindre et réhabiliter les locaux de la coordination provinciale de l’Environnement et développement durable.
Un acte volontaire que le coordonnateur qualifie de « geste responsable et digne de confiance ».
Sur les sujets d’actualité, le coordonnateur est revenu sur l’accord de paix signé le 4 décembre à Washington entre la RDC et le Rwanda. Il a rappelé devant les agents que le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, a comme toujours fait preuve de stratégie, de courage et d’amour du peuple congolais dans ce processus diplomatique.
Selon lui, la reconnaissance internationale de l’agression de la RDC constitue un revers majeur pour Kigali et marque « la fin d’un cycle de plus de 30 ans de souffrances pour le peuple congolais ».
Le coordonnateur n’a pas hésité à saluer ce qu’il qualifie de « victoire diplomatique », affirmant que le Président Tshisekedi a su « imposer son leadership ».
Il estime que cette percée est porteuse d’espoir, notamment grâce à la mise en œuvre de la politique salariale destinée à améliorer les conditions de vie des fonctionnaires.
Félicien Malu Lisambola a invité tous les agents à suivre attentivement, ce lundi, le discours du Président de la République sur l'état de la Nation. « Il faut écouter Fatshi Beton directement, sans attendre des versions déformées », a-t-il conclu.
Rédaction.
